Vous:

Votre avis sur le pensionnat:

MonoChrome est un pensionnat paisible et relaxant vu de l'extérieur. Mais, comme tous les pensionnats, il renferme bien des secret et je n'avais pas l'intention de chercher a les découvrir, bien que ma curiosité soit un de mes pires défauts, je ne m'attarde pas sur les choses sans intérêt. Cela dit, j'aime quand même beaucoup cet endroit. J'entraîne des étudiants à se battre, c'est plutôt... Divertissant.

Votre Histoire:

Le soleil à l'aube des montagnes, le silence, plus bruyant que jamais, seul le cri strident d'un enfant né sous une bonne étoile, ce jour fut celui de la naissance tant redouté de cette famille peu commune.

- Lady Jakins ! Lady Jakins ! Votre cavalier est arrivé...

Génial ! Je n'avais même pas fini de me coiffer... C'était surement le plus beau jour de ma vie, le bal de fin d'année. Ma robe mettait mes formes en valeur et mes chaussures étaient vraiment magnifiques ! Je finissais à peine de donner un coup sur mes oreilles, que Miranda toqua à ma porte, je ne pouvais bien évidemment pas lui refuser l'entrée, car elle était venue m'apporter le collier de rubis que ma mère m'avait laissé à sa mort. Je me souviens encore de mon anniversaire de mes six ans. Je n'avais invité personne à mon anniversaire, je ne voulais personne d'autre que mes parents. Au lieu de rester à la maison, ma mère avait prévue un voyage en Egypte, c'était la première fois que je posais les pieds dans ce pays que j'aimais tant. Déjà depuis toute petite, j'avais eu pour passion d'explorer l'inexplorable, ayant attrapé ça de ma mère qui était une grande chercheuse très connue. Sans trop vous raconter le comment du pourquoi, ma mère avait prit un vole de retour plus tard et nous étions rentrés avant elle car elle avait eu un coup de téléphone venant de son patron et elle devait faire un sois disant détoure. Ce jour-là, il y eu une tempête qui emporta l'avion de ma mère qui avait décollé tard dans la nuit, et l'avion ne fut jamais retrouvé...

- Vous êtes ravissante !

Et voilà que ma chère et tendre Miranda, au service de notre famille depuis bien des années, me sorti de mes pensées. J'étais enfin prête pour rejoindre celui que j'aimais qui devait surement m'attendre en bas des escaliers. Tel une princesse je descendais les marches une par une, une main posait sur la rambarde, mon père un appareil photo à la main. Je devais surement avoir rougis, car rien que de le voir, ça me faisait quelque chose. Il avait une rose blanche à la main, c'était assez romantique mais, un peu trop à mon goût, Miranda prit soin de la déposer dans un vase pendant que je me rendais avec mon cavalier dans la limousine qui allait nous conduire au fameux bal tant attendu. Malheureusement, cette soirée était loin d'être comme un de ces comtes de fée pour enfants. Je vais vous faire un rapide résumé de cette cauchemardesque soirée : c'était un soir de pleine lune, il faisait presque nuit noire dehors et moi qui pensait que cela allait être la plus belle soirée de ma vie, je n'avais pas pensée une seule seconde qu'un Ookamis (mi-humain, mi-loup) pouvait gâcher cette soirée en une fraction de seconde. On était à l'arrière et on ne l'avait pas vu se jeter sous la limousine et le chauffeur, voulant éviter de le percuter, fit sombrer la voiture dans un lac. Un an après, je sortis de mon coma, retrouvant la mémoire petit à petit au fil des jours, je fini par développer une agilité supérieure ainsi qu'une facilité à magner les armes blanches et les armes à feux, personne n'était arrivé à expliquer ça mais, moi je m'amusais bien. Les études ne m'intéressaient plus trop et tout ce que j'aimais faire, c'était me battre mais, sans pour autant blesser des gens.

- Alicia ? Je t’ai trouvé un travail !

C'était une amie de mon père qui lui avait parlé de ce nouveau pensionnat, ils cherchaient un professeur qui pourrait enseigner le maniement des armes blanches et comme je m'ennuyais, seule dans mon manoir à toujours défier les mêmes personnes, mon père m'annonça que ce serait bien pour moi d'y aller et j'aimais bien l'idée d'enseigner a de jeunes gens comment se défendre avec un simple couteau de cuisine !